Tapé Koulou Laurent réfutait des allégations d’escroquerie

Dans sa parution N°037 du 16 octobre 2003, LIntelligentdAbidjan mettait à la grande Une : « Affaire les escrocs de la République/ Tapé Koulou Laurent : les vrais escrocs sont auprès de Gbagbo ». Il s’agissait d’un entretien de Tapé Koulou Laurent, président national des patrons de presse de Côte d’Ivoire à L’Intelligent d’Abidjan. Accusé par des confrères d’escroquerie, il avait répondu « Tapé Koulou Laurent n’est pas un escroc et je ne protège pas d’escrocs. Je suis le parrain de toute la jeunesse patriotique ».

Pour ce qui était de la parution du 15 octobre 2003, il y a 20 ans, l’on notait un article en Co-une pour titre : « Les militants de France à Djédjé Mady/ Le Pdci est pris en otage ». Djédjé Mady, alors secrétaire général du Pdci-Rda avait échangé avec les militants du plus vieux parti de Côte d’Ivoire en France. Répondant à la préoccupation d’un militant, Djédjé Mady, avait rétorqué que ce n’est pas le Pdci seul qui est pris en otage, mais c’est toute la Côte d’Ivoire depuis la déclaration de guerre au pays. En ce qui concerne le journal du 14 octobre 2003, le quotidien dont vous avez rêvé titrait à sa grande Une « Concertations au sommet / Ado et Soro chez Compaoré ». Le président du Rdr, Alassane Ouattara s’était rendu au pays des hommes intègres pour une action de médiation. À la demande du professeur Albert Tévoédjrè, du président Diouf, et du Quai d’Orsay, et aussi du président Laurent Gbagbo, Alassane Ouattara s’était rendu au Burkina Faso pour parler à Soro Guillaume et obtenir le retour au gouvernement des Forces nouvelles.

Touré Abdoulaye avec A. Traoré (Stagiaire)