Augustin Senghor, Vice-président de la CAF : « Pourquoi nous pensons que cette Can sera la plus belle de l’histoire »
Le Premier vice- président de la CAF, Augustin Senghor, face à la presse le vendredi 12 janvier 2024 au palais de la culture, a dit pourquoi la CAF pense que « cette Can 2023 sera la plus belle de l’histoire ».
Pour le président de la Fédération sénégalaise de football, Augustin Senghor, premier vice-président de la Confédération africaine de football (CAF), des signaux laissent entrevoir que la Can 2023 qui se tient en Côte d’Ivoire, sera la plus belle de l’histoire de la compétition. «La qualité des pelouses est pour la Can, ce qu’est le cœur pour l’homme. Sans de bonnes pelouses, il ne peut y avoir de spectacle. À ce niveau là, les standards de pelouse que nous avons en Côte d’Ivoire nous permettent de penser que cette Can sera la plus belle de l’histoire », a dit Augustin Singhor.
Il a aussi évoqué le cas des infrastructures.« L’un des points saillants qui a toujours été une préoccupation pour le football africain, à ce stade de la préparation, c’est la qualité des infrastructures et leur mise à disposition à temps. Bien souvent, jusqu’au jour de l’ouverture officielle, il y avait encore des coups de pioche. Mais aujourd’hui, je pense que tout est fait. C’est à saluer. L’organisation mise en place par le Comité local et la CAF montre que nous aurons une belle organisation », a-t-il ajouté.
Le Vice-président de la Caf a dit ces mots , alors qu’il était aux côtés de Patrice Motsepe, le président de la CAF, qui animait au Palais de la culture à Abidjan Treichville, une conférence de presse d’avant l’ouverture de la compétition.
Augustin Senghor a aussi salué, ce qu’il a qualifié de sens de l’hospitalité du peuple ivoirien, vis-à-vis de toutes les délégations arrivées dans le pays. «C’est un aspect important chez nous (en Afrique. Ndlr). Un aspect que nous devons revendiquer. En Afrique, nous aimons vraiment être ensemble et avoir ce brassage. Cela se voit que la Côte d’Ivoire est heureux d’accueillir l’Afrique. Nous sentons déjà la bonne organisation. La plupart des équipes sont déjà là. La presse est là et les journalistes ont reçu leurs accréditations plusieurs jours avant la compétition. Alors que très souvent, c’était le jour-j que les retraits se faisaient. Je pense que c’est également un élément important », a-t-il conclu.
J-H Koffo