A mon avis…- La ligue arabe coincée et décevante
La ligue arabe et certains États modérés, comme le royaume du Maroc, et amis des États-Unis se trouvent, par leurs propres fautes, dans une situation d’impuissance, dans le conflit israélo-Hamas. La ligue arabe, totalement coincée, estime que les États-Unis pouvaient être un « médiateur honnête » entre Palestiniens et Israéliens.
Après quatre mois de combats, et vu la position de Joe Biden, président des États-Unis, qui fournit des armes à l’État Hébreu, la ligue arabe est totalement déçue. Elle admet mal, que les États-Unis qui, pouvaient jouer les arbitres soient le complice des Israéliens. Le Royaume du Maroc, et le roi Mohamed VI, par excellence modérés, sont critiqués par sa société civile, à cause de ses relations commerciales et économiques avec Benyamin Netanyahou. À mon avis, le Roi Mohamed VI n’a pas tort. Les liens du Maroc avec Israël sont une approche équilibrée à savourer dans cette position, que la ligue arabe devait à sa diplomatie avec Israël. Dans le voisinage avec l’État hébreu, la ligue arabe n’a pas le choix. Elle dit voir des ambassades et autres représentations commerciales et économiques en Palestine et en Israël, en stratège dynamique pour mettre fin au conflit, dans une paupérisation croissante de la création de deux États. À mon avis, je soutiens la ligne offensive du roi Mohamed VI du Maroc, qui favorise le dialogue. Le royaume du Maroc pense à une intégration politique et diplomatique solide, morale et humaine des Palestiniens et Israéliens. Cette pénétration d’accréditation « morale » contribuera considérablement à la baisse de tension d’affrontement par les armes. Surtout dans la ligue arabe qui, protège mal les Palestiniens. Actuellement, aucun État de la ligue arabe, ne se bat aux côtés du Hamas. C’est décevant. À mon avis, la paralysie actuelle entre l’Israël et le Hamas, permet aux États-Unis, et à l’Israël d’agir à leur guise. Tout comme l’Union Européenne, qui reste muette avec des communiqués laconiques. En vérité, je vous le dis, l’avenir de la Palestine dépend d’un dialogue direct avec l’État hébreu, avec l’entente des pays de la ligue arabe. L’Arabie saoudite, l’Egypte, le Qatar sont aujourd’hui coincés dans la régulation de leurs communications avec les États-Unis, l’Europe, pour garantir la fin du conflit israélo-palestinien ou garantir et protéger la liberté du Hamas.
PAR Ben Ismaël
